lundi 6 juin 2011

Jour 70 - N'est pas Épicure qui veut !

Êtes-vous vraiment sûr de savoir célébrer ?

Bonjour,

Non, n'est pas Épicure qui veut ! Je l'ai cru un temps mais que nenni.

Bien voilà, nous fêtons ici mes 70 jours de ce challenge "j'arrête de râler" et ce n'est plus un secret, on sait que râler c'est évacuer des frustrations et croire que l'on se fait entendre !

Pensez-vous savoir évacuer vos frustrations ? Qu'elles soient quotidiennes, antérieures, pérennes, inconscientes ou éphémères, pensez-vous savoir célébrer pour évacuer ces tensions de l'esprit et du corps ?


Eh bien moi, de constats en prises de consciences, je suis bien heureuse de partager ici une décision qui prend tout son sens avec ce challenge.

Cela fait plusieurs mois (même avant le challenge) où je me dis que les plaisirs, les satisfactions on ne les vit pas noyés dans les addictions à effets éphémères et de toute façon dangereuses.
J'avoue avec un peu de gêne, que j'aime boire, un peu et de toute façon de trop ! Les effets du vin et de l'alcool, je les recherche en soirée, en week-end, croyant que c'est une célébration et une émotion de plus à vivre dans l'instant.
Je ne suis pas à un stade de dépendance avancée, mais voilà grâce et avec mon ange gardien ; hier, j'ai décidé de passer par une vraie période de sevrage, car même si une consommation n'est pas quotidienne, elle est dépendante de nous dès lors que penser à l'occasion festive c'est se réjouir de pouvoir "boire son coup", cela n'est qu'une dépendance dont il faut se méfier sérieusement.

J'ai stoppé en janvier 2008 l'addiction de la cigarette, qui, dans tous les sens du terme, nous polluait  véritablement la vie. 
Maintenant, je ne veux plus me dire, -"ah je vais me détendre (sous entendu boire plus que 2 verres) avec mes amis autour d'un bon vin !". 
Je veux ressentir la VRAIE CÉLÉBRATION, celle où les sens se mettent en éveil grâce au pouvoir de nos hormones naturelles, celle que dans notre vie "moderne" nous ne savons que trop mettre de côté pour se noyer dans la facilité des addictions !

Tout est comme ça : "J'allume la télé, c'est facile, et je me détends".
Bien non, les vrais principes de base du plaisir ne passent pas par la facilité des "matières extérieures" ! Le bonheur est dans le ressenti de notre corps en accord avec notre esprit, toujours à mon sens bien-sûr.

Le challenge, un vrai nettoyage de printemps, dixit Christine Lewicki ! Et c'est vrai, se redécouvrir en douceur cela passe par des prises de consciences positives et là on est en plein dedans !

J'ai fait jour 66 -67 - 68 sans râler mais j'ai changé de main hier soir, je n'étais pas vraiment décidée, mais une inquiétude au travail (prise de conscience), m'a fait un peu râler côté passager, en voiture. Alors oui, la tolérance zéro, c'est vraiment révéler les frustrations cachées qui se reportent sur d'autres "râleries".

Allez, c'est quand que vous vous faites du bien ?!!

9 commentaires:

  1. Mes commentaires du jour sur le blog "sowate", la nouvelle challenger et son nouveau blog "moiaussijarretederaler.wordpress.com", ici :

    http://moiaussijarretederaler.wordpress.com/2011/06/06/jour-3-remplir-le-vide/#comment-18

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  2. Bonjour,

    Un challenge dans ce challenge, voici ce qu'est aussi le sevrage de l'alcool...
    Cela fait 25 jours que je n'ai pas bu une goûte d'alcool.
    Et oui, la théorie qu'il faut entre 21 et 28 jours pour se défaire d'une habitude est à nouveau prouvée ici.
    Je ne ressens plus l'envie de boire, ni par "besoin", ni par plaisir, cela m’indiffère.
    Bien sûr ce n'est pas la première fois que je fais ce "sevrage" et j'ai déjà été plus longtemps sans boire d'alcool...
    Mais comme je le dis sur l'article (du 6/06) correspondant à ce commentaire, une dépendance peut s'avérer lorsque le symptôme est l'envie irrépressible, pour pallier à autre chose.
    Je ne sais pas jusqu'à quand je ne bourrais plus une goûte mais j'avoue que pour moi cela devenait comme une sorte d'anti-dépresseur, vous me direz c'est la définition même de l’alcoolo-dépendance, mais heureusement il y a plusieurs degrés et étapes à cette maladie, et mon cas n'était pas si critique. Toutefois, la prise de conscience était nécessaire et "j'arrête de râler" à contribuer aussi à cette prise de conscience !

    Haut les cœurs et bonnes célébrations !

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  3. J'ai "tenu" un mois dans ce challenge du sevrage d'alcool...
    Cela m'a fait le plus grand bien, car maintenant j'arrive à relativiser mes envies, à les canaliser et surtout à ne boire que par occasions (non pas tous les week-ends non plus)... Un peu plus d'écarts au mois d'août mais avec la reprise du challenge et du sport, je me suis vite souvenue de mes 30 jours de sevrage... et hop pas si dur que cela de stopper !

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  4. Bonjour,

    Voici mon nouveau commentaire suite à cet article qui date du 6 juin 2011, "Jour 70 - N'est pas Épicure qui veut !".

    Septembre dernier donc, comme le dit mon dernier commentaire (sur le blog bien sûr), j'avais réussi un sevrage d'un mois !
    Eh bien voici le temps de refaire un petit tour vers la sérénité du corps et de l'esprit.
    Après un choc émotionnel tel que nous avons vécu dans notre famille, il est important d'identifier les vraies raisons de quelques addictions ! Alors que petit à petit je profitais aux repas de quelques bons vins, je me rends compte que la dépense, peut elle bien vite gagner du terrain. Alors stop, faisons une pause ;) Voici le premier jour de mon nouveau challenge, sevrage d'un mois minimum d'alcool !
    "Sportivez-vous" !

    Bonnes Célébrations !

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  5. Oups erreur de frappe. C'est de la "dépendance" dont je voulais parler et non la "dépense", quoi que les deux sont étroitement liés, mdr !

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  6. Bonjour,
    Vous êtes bien dans un commentaire tiré de l'article du 6 juin 2011, http://tibysaventures.blogspot.fr/2011/06/jour-70-nest-pas-epicure-qui-veut.html .

    Alors voilà, juste pour dire que mon mini challenge de faire un mois sans boire une goutte d'alcool est passé à plus de 21 jours consécutifs. Sachant qu'il faut entre 21 et 28 jours pour changer une habitude... je voulais le noter. Je savoure encore plus ce petit sevrage que le précédent de l'année dernière et voir les autres boire, cela m'amuse de me dire que je suis capable de ne PAS les suivre pour "faire pareille"... je vais m'amuser une fois encore demain soir, car de la famille s'est invitée pour l'apéro ;)) celui-là même que j'organise en me disant tout simplement "allez-y buvez pour moi !".
    Bref, il n'y a pas que cela dans la vie...
    Bye Tutti !

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  7. tu prèches une convaincue tib' c'est tellement mieux sans alcool, on peut apprécier des soirées même si on boit du jus d'orange lol bisous à tous

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  8. Bonjour,
    Vous êtes bien dans un commentaire tiré de l'article du 6 juin 2011, http://tibysaventures.blogspot.fr/2011/06/jour-70-nest-pas-epicure-qui-veut.html .

    Coucou memelle ;) merci de ton témoignage... Je sais qu'il s'agit d'une expression, mais je tiens à dire que je ne comptais prêcher rien à personne... juste me donner motivation en inscrivant "noir sur blanc" mes résolutions ;)
    Et à ce propos, demain j'arrive donc au terme de mon challenge de 1 mois sans boire d'alcool !
    Sans prendre en compte ton témoignage, j'ai décidé depuis hier de faire "abstinence", en clair j'arrête de boire (et de surcroît en soirées festives), je ne me laisserais tenter que parfois par une petite bière rafraîchissante si je suis accompagnée, à une terrasse ou autre...
    Depuis ces un mois j'ai perdu ce goût du vin qui pourtant était pour moi une vrai plaisir gustatif (entre autre) ! Mais je sais que je ne pourrais pas trouver d'équilibre raisonnable lors des soirées relativement fréquentes et je souhaite réellement vivre les émotions naturellement sans l'adjonction de ce "thérapeute" que je nomme vin.
    Je prends cette décision sans gravité, avec bonheur et légèreté ;)

    Rappelez-vous il faut entre 21 et 28 jours pour reprogrammer la notion des habitudes, donc foncez, faites vos challenges, ça marche et ça fait du bien ;) ;)
    Bisous tutti

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  9. J'avoue que je ne bois pas, mais que depuis 2 mois ;) le week end, j'aime prendre un petit verre. Rien de bien méchant mais quand cela deviendra systématique, ou que je ne pourrais m'en empêcher ou de m’empêcher d'y penser je verrais à stopper toute consommation. Comme tu le sais pas eu d'adolescence, je découvre sur le tard, quelques plaisirs de la vie.... tant qu'il n'y a pas abus... et habitude ça va lol

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